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Une architecture verte et lumineuse
Le Sidra, cet arbre indigène typique du désert du Qatar, a inspiré les architectes : ses racines s’ancrent fermement dans le sol et ses branches, tendues vers le ciel, s’étalent quasiment en demi-cercle de part et d’autre du tronc. C’est l’esthétique que l’on retrouve sur la maquette du projet, où l’espace principal, construit sur une oasis, forme une canopée transpercée par les rayons du soleil. Dessous, l’effet « forêt tropicale » sera garanti, avec ces ombres qui viendront se projeter sur le sol.
Comment le palace est-il aménagé ? L’espace sera occupé par une succession de pavillons, de pièces d’eau et de jardins (extérieurs comme intérieurs). La végétation est une des composantes principales du lieu.
Comment le palace est-il aménagé ? L’espace sera occupé par une succession de pavillons, de pièces d’eau et de jardins (extérieurs comme intérieurs). La végétation est une des composantes principales du lieu.
Adieu les climatiseurs ?
Cette fois-ci, adieu les climatiseurs que l’on retrouve partout dans la Cité-État. De gros brumisateurs devraient pulvériser des fines gouttelettes d’eau au sein du dôme afin de créer un micro-climat. Ainsi, la température idéale pourrait quand même être obtenue tout en apportant de l’humidité pour les nombreuses plantes.
Sauf que dans un désert, l’eau est rare me direz-vous. Effectivement, et le cabinet d’architectes répond à ce problème de la manière suivante : pomper l’eau salée des nappes phréatiques sous-terraines inexploitables pour la consommation ; dessaler l’eau dans une usine ; la stocker sur place. Elle servirait ainsi à alimenter les piscines, l’arrosage des jardins et des plantes et approvisionner les salles de bains en eau. Un système de récupération a aussi été pensé d’après eux.
Enfin, à quelle énergie le cabinet a-t-il songé pour éclairer le palace ? Grâce au dôme semi-ouvert, la lumière naturelle sera privilégiée. Des panneaux photovoltaïques seront installés, enveloppant la structure elle-même.
Sauf que dans un désert, l’eau est rare me direz-vous. Effectivement, et le cabinet d’architectes répond à ce problème de la manière suivante : pomper l’eau salée des nappes phréatiques sous-terraines inexploitables pour la consommation ; dessaler l’eau dans une usine ; la stocker sur place. Elle servirait ainsi à alimenter les piscines, l’arrosage des jardins et des plantes et approvisionner les salles de bains en eau. Un système de récupération a aussi été pensé d’après eux.
Enfin, à quelle énergie le cabinet a-t-il songé pour éclairer le palace ? Grâce au dôme semi-ouvert, la lumière naturelle sera privilégiée. Des panneaux photovoltaïques seront installés, enveloppant la structure elle-même.