A vingt ans, elle murit son projet professionnel depuis l’âge de douze ans, choquée devant des images de vêtements invendus brûlés… Un jour de décembre pluvieux, elle frappe aux portes des premières boutiques pour proposer une solution aux problèmes légaux posés par les invendus vestimentaires.
SA - Comment réagissent les marques quand vous leur proposez une solution pour les invendus ?
CS - Les réactions sont très diverses et, à titre d’exemple, l’esprit est plus ouvert en régions qu’à Paris, bien que deux boutiques Parisiennes aient soutenu l’initiative.
SA - En quoi est-ce une solution gagnant-gagnant pour les marques ?
CS - La loi punit de 15000 euros d’amende la destruction des invendus non alimentaires, Cette démarche est donc écologique, ET une solution pour les boutiques indépendantes.
SA - Quel est le principe de la Mystery box ?
CS - Les marques cosmétiques ont beaucoup proposé ça, et je me suis dit que ça restait une expérience shopping (…) amusante, avec un questionnaire à remplir au préalable.
Avec Click & Recycle, les articles sont remis dans le circuit, pour une seconde vie sur un format différent et ludique.
SA - Click & Recycle dans 1 an, 5 ans, 10 ans, ce serait quoi ?
CS - À un an : développer une communauté autour du projet. À cinq ans, avoir un maximum de boutiques partenaires et devenir la solution première pour déstocker les invendus vestimentaires de boutiques indépendantes.
À 10 ans, collaborer avec des grosses chaines de vêtements, et pourquoi pas avoir des boutiques basées sur le concept de la boîte de vêtements, à objectif écoresponsable.
SA - Un message à transmettre ?
CS - On peut penser aux autres et aux générations futures, en s'achetant des habits. La mode restera toujours. C'est important de se sentir bien, de se faire plaisir , mais on peut faire passer un message pour éviter la surconsommation . Et même si on est jeune, quand on a une idée, la développer et aller au bout de ce qu’on veut vraiment.
En découvrir plus sur Click & Recycle : Instagram : @clickandrecycle.store - Tiktok : chaandclickandrecycle
SA - Comment réagissent les marques quand vous leur proposez une solution pour les invendus ?
CS - Les réactions sont très diverses et, à titre d’exemple, l’esprit est plus ouvert en régions qu’à Paris, bien que deux boutiques Parisiennes aient soutenu l’initiative.
SA - En quoi est-ce une solution gagnant-gagnant pour les marques ?
CS - La loi punit de 15000 euros d’amende la destruction des invendus non alimentaires, Cette démarche est donc écologique, ET une solution pour les boutiques indépendantes.
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CS - Les marques cosmétiques ont beaucoup proposé ça, et je me suis dit que ça restait une expérience shopping (…) amusante, avec un questionnaire à remplir au préalable.
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À 10 ans, collaborer avec des grosses chaines de vêtements, et pourquoi pas avoir des boutiques basées sur le concept de la boîte de vêtements, à objectif écoresponsable.
SA - Un message à transmettre ?
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