Bousculés par le succès de l'Apple Watch, les groupes horlogers doivent se réinventer pour séduire une nouvelle clientèle.
Numéro deux mondial du luxe, le puissant groupe Richemont (Cartier, IWC, Montblanc, Jaeger Lecoultre, Panerai, Baume & Mercier) dévoile "Baume", une nouvelle marque horlogère marquant une réelle rupture avec les pratiques habituelles du secteur.
Conçue à Genève mais fabriquée aux Pays-Bas, les montres Baume seront principalement commercialisées par internet, sur le site https://www.baumewatches.com/
Un choix qui permet à Baume de produire à la demande et d'éviter tout stock, dans une logique de protection de l'environnement.
Outre ce choix logistique, la marque fait également l'impasse sur les cuirs d'origine animal, propose des bracelets en lin ou en coton et parie pour ses boitiers sur des matériaux recyclables tels que le polyethylene ou l'aluminium.
Baume s'engage enfin à reverser un pourcentage de ses ventes à la fondation Waste Free Oceans qui collecte les plastiques qui polluent les océans, et dont certains deviendront d'ailleurs des bracelets pour ses montres.
Une marque chic et écologique, en phase avec l'époque, et qui pourrait faire mouche auprès d'une clientèle plus jeune grâce à ses tarifs sous les 1000 euros.
Numéro deux mondial du luxe, le puissant groupe Richemont (Cartier, IWC, Montblanc, Jaeger Lecoultre, Panerai, Baume & Mercier) dévoile "Baume", une nouvelle marque horlogère marquant une réelle rupture avec les pratiques habituelles du secteur.
Conçue à Genève mais fabriquée aux Pays-Bas, les montres Baume seront principalement commercialisées par internet, sur le site https://www.baumewatches.com/
Un choix qui permet à Baume de produire à la demande et d'éviter tout stock, dans une logique de protection de l'environnement.
Outre ce choix logistique, la marque fait également l'impasse sur les cuirs d'origine animal, propose des bracelets en lin ou en coton et parie pour ses boitiers sur des matériaux recyclables tels que le polyethylene ou l'aluminium.
Baume s'engage enfin à reverser un pourcentage de ses ventes à la fondation Waste Free Oceans qui collecte les plastiques qui polluent les océans, et dont certains deviendront d'ailleurs des bracelets pour ses montres.
Une marque chic et écologique, en phase avec l'époque, et qui pourrait faire mouche auprès d'une clientèle plus jeune grâce à ses tarifs sous les 1000 euros.