La ville de Queenstown, en Nouvelle-Zélande, qui consomme beaucoup de carburant, a l'objectif audacieux de devenir la première destination touristique sur Terre à avoir une économie de visiteurs à zéro émission de carbone – et tout cela d'ici 2030.
D'ici 2030, si tout se passe comme prévu, vous atterrirez à Queenstown, sur l'île du Sud de la Nouvelle-Zélande (peut-être même à bord d'un avion électrique d'Air New Zealand) et vous vous rendrez en ville via une télécabine électrique ou un ferry à propulsion hydraulique traversant le célèbre lac Wakatipu, alimenté par un glacier. Les skieurs et les snowboarders – qui en hiver descendent dans cette région en nombre toujours croissant du monde entier – emprunteront des télésièges électriques jusqu'aux sommets des stations de ski environnantes.
Tout cela s'inscrit dans le plan très ambitieux de la région visant à devenir la première ville touristique de la planète à avoir une économie de visiteurs à zéro émission de carbone d'ici 2030.
L'énorme défi environnemental de Queenstown est né de la crainte que les infrastructures de la région aient du mal à faire face au grand nombre de touristes qui affluent dans la ville. L'année dernière, près de 400.000 visiteurs internationaux sont venus à Queenstown, soit une augmentation de près de 20 % depuis 2019, juste avant la pandémie. Ce chiffre est particulièrement significatif si l'on considère que Queenstown a une population permanente d'environ 50.000 habitants.
D'ici 2030, si tout se passe comme prévu, vous atterrirez à Queenstown, sur l'île du Sud de la Nouvelle-Zélande (peut-être même à bord d'un avion électrique d'Air New Zealand) et vous vous rendrez en ville via une télécabine électrique ou un ferry à propulsion hydraulique traversant le célèbre lac Wakatipu, alimenté par un glacier. Les skieurs et les snowboarders – qui en hiver descendent dans cette région en nombre toujours croissant du monde entier – emprunteront des télésièges électriques jusqu'aux sommets des stations de ski environnantes.
Tout cela s'inscrit dans le plan très ambitieux de la région visant à devenir la première ville touristique de la planète à avoir une économie de visiteurs à zéro émission de carbone d'ici 2030.
L'énorme défi environnemental de Queenstown est né de la crainte que les infrastructures de la région aient du mal à faire face au grand nombre de touristes qui affluent dans la ville. L'année dernière, près de 400.000 visiteurs internationaux sont venus à Queenstown, soit une augmentation de près de 20 % depuis 2019, juste avant la pandémie. Ce chiffre est particulièrement significatif si l'on considère que Queenstown a une population permanente d'environ 50.000 habitants.