Une nouvelle île privée avec résidences de luxe inaugurée dans le Pacifique Sud

Mardi 7 Décembre 2021

La marque de luxe COMO Hotels and Resorts élargit son panel d’îles privées avec l’île sauvage COMO Laucala de 8 700 m2 dans le Pacifique Sud.



Coin de paradis aux îles Fidji

L’ouverture de l’île, qui s’ajoute à COMO Parrot Cay et COMO Maalifushi, est prévue pour le 15 décembre prochain. Une flore sauvage entourée de lagons d’eau bleu turquoise et de sable blanc. Un coin de paradis au cœur des forêts tropicales, des montagnes volcaniques, des mangroves et des noix de coco. Une évasion insulaire dans un écosystème très protégé aux résidences de luxe.

25 résidences écoresponsables en bois fidjien au bord de l’eau

Pour accéder aux 25 résidences qui bordent la côte nord de l’île, réparties sur des plages privées, au-dessus des lagons, une piste d’atterrissage a été aménagée pour accueillir les vols de 45 minutes depuis l’aéroport international de Nadi. Une fois sur place, chaque résidence possède son propre majordome. Chaque complexe s’étale sur une superficie comprise entre 3000 et 4000 m2, toutes équipées de piscines privées.
 
Dans la mesure du possible, les constructions ont été bâties à l’aide de matériaux locaux, en tentant de respecter l’architecture et les traditions des habitations du Pacifique Sud. En effet, chaque résidence est construite en bois naturel fidjien, en adéquation avec le style contemporain de COMO. 


Quelles activités sur l’île privée ?

Un parcours de « golf tropical » de 18 trous est présent sur l’île et a été fabriqué par David McLay Kidd. De nombreuses activités et équipements terrestres comme aquatiques seront proposés : jet-skis (reste à savoir s’ils respecteront véritablement l’écosystème marin), voiliers, bateaux de pêche, de plongée, VTT, équitation, randonnées, tennis, etc.
 
Pour se détendre et vivre plus lentement loin de l’agitation du monde urbain, un centre de bien-être a été inauguré proposant également diverses activités : yoga, cours de remise en forme, soins, massages, etc. 
 
Enfin, minimiser l’impact environnemental passe aussi par ce qui se retrouve dans l’assiette des voyageurs. Ainsi, les 5 restaurants de l’île cuisinent avec des produits frais venant de la ferme de 240 hectares du complexe (cultures biologiques concernant les poulets, les cailles ou le bétail et fruits de mer provenant exclusivement de la pêche locale).

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