En tant qu'ambassadeur de bonne volonté pour la biodiversité, Mauro Colagreco est membre de la délégation de l'UNESCO lors de la 16e COP Biodiversité à Cali (Colombie). Une présence dévouée, pendant laquelle le chef en gastronomie circulaire s'exprime sur les questions de préservation de la biodiversité et met en évidence la relation entre les équilibres écosystémiques et la sécurité alimentaire.
Mauro Colagreco - chef/propriétaire du Mirazur*** - a été présent dans le monde entier depuis l'ouverture de son restaurant à Menton en 2006. Le 25 novembre 2022, il devint le premier chef à être nommé ambassadeur de bonne volonté par Audrey Azoulay, Directrice générale de l'UNESCO. En charge de « mobiliser l'intérêt et le soutien du public », le chef qui représente l’UNESCO sur les questions de biodiversité et d'écologie a répondu à la demande et participe aux discussions lors de la 16e Conférence des Parties, dont le slogan est « paix avec la nature ».
Selon Mauro Colagreco, la cuisine est un puissant moteur de changement ; son message est que en modifiant la façon dont nous produisons notre nourriture, nous modifions notre alimentation, nous modifions notre société et donc nous modifions nos valeurs. Il soutient également que grâce à une gastronomie plus circulaire, respectueuse des cycles de la nature, il est envisageable de nourrir une population en croissance sans avoir à détruire la planète.
Mauro Colagreco - chef/propriétaire du Mirazur*** - a été présent dans le monde entier depuis l'ouverture de son restaurant à Menton en 2006. Le 25 novembre 2022, il devint le premier chef à être nommé ambassadeur de bonne volonté par Audrey Azoulay, Directrice générale de l'UNESCO. En charge de « mobiliser l'intérêt et le soutien du public », le chef qui représente l’UNESCO sur les questions de biodiversité et d'écologie a répondu à la demande et participe aux discussions lors de la 16e Conférence des Parties, dont le slogan est « paix avec la nature ».
Selon Mauro Colagreco, la cuisine est un puissant moteur de changement ; son message est que en modifiant la façon dont nous produisons notre nourriture, nous modifions notre alimentation, nous modifions notre société et donc nous modifions nos valeurs. Il soutient également que grâce à une gastronomie plus circulaire, respectueuse des cycles de la nature, il est envisageable de nourrir une population en croissance sans avoir à détruire la planète.