Après avoir mis en œuvre des mesures concrètes pour gérer ses déchets, telles que récemment l'acquisition d'un déshydrateur neuf, le chef doublement étoilé au guide Michelin Bruno Oger souhaitait approfondir ses engagements écologiques. Il a donc fait poser 200 panneaux photovoltaïques au début de l'été afin de bénéficier de la luminosité très élevée au Cannet (06), où il est installé. Depuis, il génère plus de la moitié de l'énergie dont il a besoin pour ses deux restaurants.
« Nous aspirons à être une entreprise moderne, qui se soucie de l'environnement. Nous avons déjà beaucoup progressé sur la question de la gestion de nos déchets et sur toutes les composantes possibles. C'était la dernière pierre à l'édifice sur ce volet. Ici, au Cannet, il fait beau de fin mars à fin octobre, donc c'était évident. Surtout que le système fonctionne avec la luminosité, pas nécessairement un soleil tranchant. Autant dire qu'il va être actif quasiment toute l'année », assure le chef Bruno Oger.
« C'est une volonté que nous avions depuis un petit moment, mais nous voulions trouver les meilleures solutions, en accord avec la municipalité et les bâtiments de France, pour que ces panneaux ne touchent pas le toit, et soient quasi invisibles à l'œil nu. On a donc fait faire de la ferronnerie, sur mesure, et la pose a été assurée par une entreprise locale, établie à Fayence, qui était totalement impliquée sur le chantier. »
Quatre mois après la mise en place de son installation photovoltaïque, les restaurants de Bruno Oger ont consommé 96.000 kW, dont plus de la moitié générée par les panneaux, soit 62.000 kW. Soit une économie d’environ 10.000 euros sur la facture totale d’énergie.
« Nous aspirons à être une entreprise moderne, qui se soucie de l'environnement. Nous avons déjà beaucoup progressé sur la question de la gestion de nos déchets et sur toutes les composantes possibles. C'était la dernière pierre à l'édifice sur ce volet. Ici, au Cannet, il fait beau de fin mars à fin octobre, donc c'était évident. Surtout que le système fonctionne avec la luminosité, pas nécessairement un soleil tranchant. Autant dire qu'il va être actif quasiment toute l'année », assure le chef Bruno Oger.
« C'est une volonté que nous avions depuis un petit moment, mais nous voulions trouver les meilleures solutions, en accord avec la municipalité et les bâtiments de France, pour que ces panneaux ne touchent pas le toit, et soient quasi invisibles à l'œil nu. On a donc fait faire de la ferronnerie, sur mesure, et la pose a été assurée par une entreprise locale, établie à Fayence, qui était totalement impliquée sur le chantier. »
Quatre mois après la mise en place de son installation photovoltaïque, les restaurants de Bruno Oger ont consommé 96.000 kW, dont plus de la moitié générée par les panneaux, soit 62.000 kW. Soit une économie d’environ 10.000 euros sur la facture totale d’énergie.